Pharmacie de l'Europe

Patience...

Vendu ordonnance atarax sans

Pas facile de se faire une place au milieu de la pharmacie. Les pharmaciens de l'Outaouais et de la région de la Capitale-Nationale s'activent depuis la légalisation du cannabis à des fins récréatives. À peine quelques mois après le début de leur pratique, ces hommes et ces femmes ont déjà des problèmes de réputation.

Avant de devenir pharmacien, un aspirant pharmacien doit d'abord réussir ses études de premier cycle dans une université reconnue par le gouvernement du Québec. Un aspirant pharmacien doit aussi être détenteur d'une carte professionnelle valide pour pratiquer en Outaouais et en région de la Capitale-Nationale. Les aspirants pharmaciens doivent ensuite obtenir une licence d'exercice, obtenue de l'Ordre des pharmaciens du Québec. Un pharmacien doit également se soumettre à un processus d'évaluation et d'autorisation de l'autorité réglementaire de son domaine.

Certains pharmaciens sont même assujettis à d'autres exigences, comme le permis de conduire, une police d'assurance, une carte de crédit et un certificat de police pour les pharmaciens exerçant en cabinet privé.

Une licence non négociable

Le pharmacien doit également faire preuve de bonnes mœurs, d'honnêteté et de bonne foi. C'est sur ces aspects de la profession qu'on a le moins d'informations. La plupart des pharmaciens de la province ne sont pas membres de l'Ordre des pharmaciens du Québec, et il y a peu de données sur les pharmaciens exerçant dans les territoires autochtones.

Les pharmaciens de la région de la Capitale-Nationale ont des exigences similaires à celles de la majorité des pharmaciens de l'Outaouais, et le fait de ne pas être membre de l'Ordre nuit à leur image auprès des patients.

La légalisation du cannabis a toutefois changé la donne pour ces pharmaciens de l'Outaouais et de la région de la Capitale-Nationale. La nouvelle loi oblige les pharmaciens à obtenir une licence d'exercice auprès de la Commission des services juridiques avant de faire de la publicité. Cela inclut des publicités dans la presse écrite et sur Internet ainsi que des annonces dans les kiosques.

Des patients qui se font des soucis

Certains patients des régions de l'Outaouais et de la Capitale-Nationale s'inquiètent de la légitimité des pharmacies qui offrent le cannabis. « Les pharmaciens ont l'impression que tout ce qui n'est pas un produit médical est illégal. Les patients doivent faire face à un problème de réputation », commente le pharmacien de Québec Pierre Tremblay, qui travaille dans une petite pharmacie de la région de Québec depuis 1992. « Les pharmaciens ne sont pas des spécialistes du cannabis. Il y a toujours une certaine méfiance. Les patients doivent s'informer en dehors du comptoir. »

Pour M. Tremblay, le pharmacien n'a pas le pouvoir d'agir comme un médecin. Ce n'est pas à lui de délivrer des certificats de décès, ou des traitements pour des problèmes de santé non liés au cannabis. Il ne peut pas prescrire des médicaments.

Mais les patients se plaignent aussi du fait que les pharmacies n'appliquent pas les mêmes normes d'hygiène qu'un centre médical, ou que les pharmacies ne sont pas assujetties aux mêmes obligations que les médecins. « Les pharmaciens ne se soucient pas des règles d'hygiène. Il n'y a pas de protocole pour le produit. Les pharmaciens ne doivent pas se préoccuper de l'hygiène », précise M. Tremblay.

Les pharmaciens font des recommandations sur la façon de stocker le cannabis. Dans leur livre, Les bienfaits du cannabis pour la santé, les chercheurs de l'Université de Laval recommandent la température ambiante et la ventilation pour le cannabis, tout comme le font les médecins et les infirmières.

Des pharmacies peu nombreuses

Cependant, selon le pharmacien de la Capitale-Nationale, les pharmacies sont peu nombreuses. Une trentaine de pharmacies vendent le cannabis au Québec. La région de la Capitale-Nationale compte environ 2000 pharmacies. Les pharmaciens exerçant dans les régions des Maritimes, de l'Ontario et du Québec représentent moins de 20% de la population.

À titre de comparaison, les pharmacies de la région de Québec comptent 320 000 citoyens et des bureaux de vente de cannabis, en plus de 176 pharmacies qui en font la vente, selon les données de l'Association des pharmaciens du Québec.

Des études en cours

Le rapport déposé au ministre de la Santé par les chercheurs de l'Université Laval en juin 2011 suggère que le produit pharmaceutique de cannabis peut être utilisé à des fins médicales. Il émet plusieurs recommandations. Le rapport de l'Université Laval indique que le cannabis a des propriétés analgésiques et anticonvulsivantes.

C'est pourquoi la vente de cannabis est autorisée aux personnes qui présentent une intolérance au cannabis. Les pharmaciens doivent suivre des formations de trois ans et obtenir une formation supplémentaire de trois ans pour pouvoir vendre du cannabis.

En revanche, les études sur les produits de cannabis ont été peu nombreuses. Le Centre canadien de contrôle des maladies a effectué en 2008 des recherches sur l'utilisation de médicaments contre la douleur et le cancer, incluant le cannabis comme ingrédient. Des études sont en cours pour déterminer si le cannabis est efficace pour traiter la douleur post-chirurgicale, le cancer du poumon et le lymphome, mais aucune étude n'a encore été publiée à ce jour.

Le gouvernement du Québec s'est aussi doté d'un nouveau cadre réglementaire sur le cannabis. Il s'agit du Règlement sur le cannabis et le Règlement sur les produits du cannabis.

La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec recommande aux pharmaciens de se conformer à la réglementation et de suivre une formation complète sur la façon de vendre du cannabis.

L'effet d'entourage

Les pharmaciens ont un certain pouvoir pour s'assurer que le cannabis qu'ils vendent est de haute qualité. Les patients ont souvent des doutes quant à la qualité de ces produits. Ils se demandent souvent si le cannabis qu'ils achètent est suffisamment pur, et s'il est de la bonne taille et de la bonne concentration.

Les pharmaciens s'inquiètent de la qualité du produit et de la quantité de cannabis qu'ils vendent. Mais selon eux, la qualité du produit ne dépend pas de la quantité de cannabis vendue. En effet, il peut y avoir un effet d'entourage. C'est ce que l'on appelle l'effet d'entourage, qui est la capacité des composés chimiques du cannabis à interagir avec d'autres composés.

Le cannabis a des propriétés antiémétiques, anti-inflammatoires, neuroprotectrices et antioxydantes. L'effet d'entourage est ce qui rend le cannabis si bénéfique pour la santé.

Certains disent que le cannabis est une substance qui a besoin de certains composés pour fonctionner à son plein potentiel. Ce qui permet au produit de mieux fonctionner que d'autres produits.

Une consommation sous contrôle

L'effet d'entourage est une des raisons pour lesquelles certains considèrent que le cannabis n'est pas plus dangereux que l'alcool ou d'autres drogues.

La ministre de la Santé du Québec, Francine Charbonneau, a annoncé la légalisation du cannabis le 17 avril 2014. Le ministre a rappelé que le cannabis est légal pour usage médical et récréatif. La ministre a aussi indiqué que la quantité de cannabis est limitée à 30 grammes par personne. Les pharmaciens se sont engagés à vendre cette quantité au maximum de leur capacité.

Le ministre a aussi confirmé que les ventes seront régies par un système de licence. Les pharmaciens devront se conformer à des normes d'hygiène et de sécurité. Le gouvernement du Québec a prévu de nombreuses autres mesures pour encadrer la vente de cannabis.

La loi prévoit aussi que les pharmaciens pourront délivrer un certificat de décès. Un pharmacien pourra également prescrire le cannabis comme traitement pour les patients présentant des symptômes de douleur chronique.

La ministre Charbonneau a annoncé qu'il y aura aussi des tests de dépistage de la consommation de cannabis. Un patient présentant un faible taux de THC ne sera pas autorisé à entrer dans une pharmacie.

La ministre a aussi dit qu'il y aura des limites à la vente de cannabis aux moins de 18 ans et aux personnes qui présentent un trouble de consommation d'alcool.

Pas de pharmacie sans permis

Il est difficile pour les pharmaciens de faire de la publicité pour le cannabis. Les pharmaciens ne sont pas autorisés à vendre de l'alcool. Il est donc impossible de faire de la publicité pour le cannabis.

Le gouvernement du Québec a aussi annoncé des règles qui obligeraient les pharmacies à faire un inventaire de leur stock de cannabis avant de le vendre. L'objectif est de s'assurer que le cannabis vendu à la pharmacie est de bonne qualité. Les pharmaciens qui ne respecteraient pas les règles pourraient être sanctionnés par l'Ordre des pharmaciens du Québec.

Un impact sur la santé

Les pharmaciens sont inquiets pour la santé des patients qui pourraient consommer du cannabis récréatif. Les effets du cannabis peuvent être ressentis plusieurs heures après sa consommation.

Les pharmaciens s'inquiètent aussi de la légalisation du cannabis.

Qu’est-ce que la méningite bactérienne ?

La méningite bactérienne est une complication rare de la méningite virale.

Quels sont les symptômes ?

La méningite bactérienne est une complication rare de la méningite virale, qui se manifeste le plus souvent par une fièvre soudaine et des maux de tête.

Quelle est la cause de la méningite bactérienne ?

La méningite bactérienne est due à la prolifération des bactéries dans le liquide céphalo-rachidien.

Quelle est la gravité de la méningite bactérienne ?

Comment diagnostique-t-on la méningite bactérienne ?

Le diagnostic de la méningite bactérienne est réalisé par un médecin en fonction du type de bactéries présentes dans le liquide céphalo-rachidien :

  • une sérologie :

  • une prise de sang :

  • un examen par un scanner ou une IRM :

  • un examen du liquide céphalo-rachidien :

En cas de suspicion de méningite bactérienne, le médecin demandera des examens complémentaires.

Quelles sont les complications de la méningite bactérienne ?

Comment prévenir la méningite bactérienne ?

Le médecin prescrit des antibiotiques pour prévenir la méningite bactérienne.

Quel est le traitement de la méningite bactérienne ?

Quelles sont les causes de la méningite bactérienne ?

Les causes de la méningite bactérienne sont multiples. Elles peuvent être virales comme la méningite aseptique ou viro-induits comme la méningite virale.

Quels sont les symptômes de la méningite bactérienne ?

Quel traitement pour la méningite bactérienne ?

Le traitement de la méningite bactérienne est basé sur un antibiotique. Le plus souvent, il s'agit de la doxycycline.

Quel est le traitement de la méningite aseptique ?

Le traitement de la méningite aseptique est basé sur une antibiothérapie intraveineuse et un drainage chirurgical.

Quelle est la cause de la méningite aseptique ?

La méningite aseptique est une complication rare de la méningite virale.

Quels sont les symptômes de la méningite aseptique ?

Quelle est la gravité de la méningite aseptique ?

Quelle est la durée du traitement de la méningite aseptique ?

La durée du traitement de la méningite aseptique est de 5 jours en moyenne.

Qu’est-ce que la méningite à méningocoque ?

La méningite à méningocoque est une complication rare de la méningite virale.

Quels sont les symptômes de la méningite à méningocoque ?

Les symptômes de la méningite à méningocoque sont :

  • une fièvre :

  • des maux de tête :

  • une raideur de la nuque :

  • des difficultés à respirer :

  • des troubles de la conscience :

  • une altération du goût :

Quelle est la cause de la méningite à méningocoque ?

Comment diagnostiquer une méningite à méningocoque ?

Le diagnostic de la méningite à méningocoque est réalisé par un médecin en fonction des symptômes et du type de méningocoque :

  • une atteinte de l’œil :

  • une atteinte de l’oreille :

  • des signes digestifs :

  • un syndrome méningé :

En cas de suspicion de méningite à méningocoque, le médecin demandera des examens complémentaires.

Quelle est la gravité de la méningite à méningocoque ?

Comment prévenir la méningite à méningocoque ?

Le médecin prescrit des antibiotiques pour prévenir la méningite à méningocoque.

Qu’est-ce que la méningite toxique ?

La méningite toxique est une complication rare de la méningite virale.

Bonjour,

Voilà, je ne prends jamais plus de l’atarax, il s’agira en France. Je suis passée en pharmacie par un pharmacien. A l’époque, j’avais un accouchement de 3 mois et mes gouttes de 25/50 mm. A l’heure des traitements, il s’agissait de la benzodiazépine. Le premier était dans la prise en charge des troubles urinaires aigus (dans le cas de la névralgie néonatale, elle est prise en charge par l’organisme) et le second était du médicament à la place. Depuis le 1er janvier, ils n’ont pas d’ordonnance. J’ai eu la chance d’aller au pharmacien. Ce médicament pourrait être à l’origine de nombreuses convulsions (dans l’ordre d’un médecin, je me suis donc sous benzodiazépines), des dépression et de maux de tête qui m’étaient atténués et m’ont dit qu’il n’y a aucune gêne sur la médication. C’est l’injection de benzodiazépine qui a été prescrite par une infirmière. J’ai alors une réaction de malaise avec des étourdissements et des nausées. J’ai également d’autres médicaments qui me laissent donner une solution pour les troubles urinaires. Je suis aussi à l’âge de 60 ans. Depuis la fin des années 90, j’ai eu une crise de migraine. La première fois, j’ai eu la chance d’aller à l’époque, en septembre 90 jours. Mais j’ai fait une hospitalisation pour des crises d’épilepsie. J’ai eu le temps d’attendre le traitement et je suis à la recherche d’une solution pour les troubles urinaires. Le 4ème de j’ai eu ce médicament, et enfin le 15ème. Je suis sous benzodiazépines. Quelques minutes d’anxiété et de douleurs, je me sens bien et je suis restée dans un hôpital. Mon médecin lui a prescrit un antidépresseur (benzodiazépine, dernier médicament, c’est le seul médicament dont j’ai été reconnaissable, dit-il. Mais l’arrêt du traitement me rend impossible le traitement à l’époque et je n’ai jamais reçu mon accouchement au pharmacien. Je suis très anxieuse et je ne suis pas seul. Je vais avoir à chaque fois qu’une médication me soit prescrit. Et je me suis dit que ce médicament faisait effet et m’a prescrit d’ailleurs un antidépresseur et que j’ai eu des convulsions. Je ne voulais pas le faire. J’ai donc vu une fois un médecin qui m’a prescrit de la benzodiazépine et qui m’a prescrit du paracétamol, des antihistaminiques, des tranquillisants, et du sérotonine. J’ai eu des convulsions. Quelques minutes de traitement, j’ai commencé à prendre le paracétamol, les antihistaminiques et le sérotonine. J’ai commencé à prendre le sérotonine, des benzodiazépines et des hypnotiques.

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